Mon maître avait convenu d'un prêt de 3 jours avec un master alors me voilà embarquer pour londres à mon arrivée à l'aéroport le master que je ne connaissais pas devait me récupérer, je me dirige vers un bar pour boire un café cela fait toujours du bien, et je n'ai même pas eu le temps d'y arriver que je fut interpeller par un policier qui me passa les menottes, il parlé tellement vite que je ne comprenais que quelques mots, il m'amena et m'embarqua dans son véhicule de fonction. Je commencé à paniquer ne parlant pas la langue courament comment allais-je m'en sortir et mon rendez-vous j'allais le rater et comment faire, l'angoisse me monter sévèrement.

Alors que nous rejoignâmes la ville de londres, le policier ne parlait pas mais quand il s'arrêta dans le centre ville, il me fit sortir et rentré dans le batiment de police et m'amena dans une cellule, j'essayé de demander ce que j'avais fait, je ne comprenais pas et le stress était présent. Puis ce policier m'amena dans une salle pour m'interroger, et je n'arrêtais pas de lui dire que je n'avais rien fait et que je n'étais pas une menace avec les attentats en france passé et que j'étais venus passé un week end à londres, je ne pouvais pas lui dire le motif de ma venue quoi que je commencais à bander par le physique de ce policier gros trappu avec une barbe courte. 

Il enregistra ma déposition par écrit et me demanda ou j'allais descendre à l'hotel mais il insista et je ne savais plus quoi dire mon coeur battait à plus de cent battements, il le voyait, je transpirait et je dû lui avouer le motif de ma venue, mais je ne pû lui dire que j'étais venu pour servir un master, alors il m'enferma à nouveau dans cette cellule.

Je desesperais me posant tant de questions et les heures s'était écoulés ayant raté mon rendez-vous, la porte de la cellule s'ouvrit et quatre policier bien baraqué trappus rentrèrent et refermèrent la porte, ils commencèrent à me bousculer et je me retrouva entièrement à poil, je fus forcé de le sucer et je me suis fait violer par des policiers, j'étais effrayé mais tellement excité, et je me laissais faire voulant que ce périple prenne enfin un sens. je fut tourner défoncer, baiser, humilier, frappé, foutré dans ma chair, ils me passèrent une tenue puis on me reppassa les menottes, un des policier me banda les yeux et on me sorti de la cellule, je fut installer dans une voiture qui démarra et m'amena je ne sais ou, qu'allait-on me faire je paniquais. Quand la véhicule s'arrêta je ne voulais pas en descendre on me tasa et je fut transporter car la décharge m'avais complètement paralysé je fut attaché à nouveau et quand on m'ôta le bandeau je reconnût le gros policier tout en cuir en chaps avec une casquette en cuir fumant un gros cigare j'étais àttacher les bras en'l'air et les jambes par des fers, vous ne pouvez pas vous imaginer ce que j'ai ressentis de la panique et pleins de questions serait-ce mon rendez-vous et là je fut fouetter à sang, il me fit une piqûre et je me sentais planer comme dans un autre monde alors qu'il abusait de moi. Je sentais mon corps subir ces violences s'en rien ressentir et je rigolais en lui disant encore, il m'ouvrit le cul avec des godes énormes et m'enferma en cage tout nu les bras attaché impossible de me remuer et de trouver une position agréable. Il me laissa tranquille et alors que je ne voyais pas le temps passé et plein d'énergie pour servir, je passa 3 jours sans dormir et servant lors de rituel de passage à des actes de tortures fouet baisé sans retenue servant de vide couille à son bon vouloir.

Alors que je redescendait, j'essayait de lui poser des questions mais je fut battus et obligé de me taire, je voulais partir rentré en france, que faire mes vêtements n'étant pas là, j'étais dévasté. On me viola à la chaine pendant des heures, je me suis évanouie plusieurs fois mais à mon reveil je revenais à la réalité les mecs me fourraient comme si de rien n'était, je ne sentais plus mon cul tordu de douleurs au début mais après on ne sent plus rien on est spectateur de ces actes comme éteint. Je subissais leurs assaults, je voulais que cela s'arrête mais non je fut traité comme une truie qui se fait saillir, je désirais plus que tout rentré en france. Aucun mots ne pouvait sortir de ma bouche, on me laissa me reposer après 5 jours, tout en étant séquestré à mon insue. à mon réveil j'avais été déménagé je ne reconnassais pas le lieu, ni les personnes seul le cuir me renseignait sur les attentes de ces bears et autres master avec des attributs siliconés énormes. à suivre...