Mon maître m'a envoyé sur marseille en stage,me voilà dans le train excité de ce stage, je prends un taxi et me voilà en direction d'Aubagne au détour d'un virage le taxi s'arrête et me montre un chemin qui monté et en haut un portail :

-Vous êtes arrivé, je payais le taxi et m'avancais vers ce portail qui ne me laissa pas perplexe aucune habitation aux alentours.

Je sonne, le portail s'ouvre et derriere une villa assez cossue, je me dirige vers l'entrée, la porte s'ouvrit, ce maître était nu avec un harnais et me dis :

- Tu es venu pour parfaire ton éducation et te faire démonter, déshabille-toi et mets tes affaires dans cette poche, tu les récupèreras à la sortie.

Il m'amène dans la salle de bain et me fis prendre une douche intime et corporelle, puis il me mis des menotes en cuir aux poignées et aux chevilles, il me mit une cagoule et un masque à gaz avec un tuyau.

- Suis moi dans ma playroom 

Il me tira par le tuyau et m'installa sur une planche de bondage, je ne pouvais pas bouger il brancha le tuyau sur une machine qui m'envoyais de l'air à sa guise et la cerise sur le gateau du poppers quand il le souhaitait afin d'abuser de mon corps.

Il installa des pompes à seins pour les grossir au maximum, je bandais d'exitation et il me mit un coup de poing dans les couilles et dit :

- C'est moi qui dis quand tu pourras bander ou jouir, tu vas apprendre ou derouillerà toi de voir, je suis sans srupule et très sévère, c'est clair.

Je hochais la tête pour lui signifier ma soumision, il me gazza fortement au poppers et m'inserra dans les couilles une perfusion afin de faire grossir mon scrotum, et aprés 1 h l'enleva  et me punchant le couilles, il boxait avec rage, un entrainnement de boxer, j'avais une pamplemousse entre les jambeset ça l'exité.

Il brancha des electrodes sur les parties intimes et m'enfonca un plug electro et m'envoya du courant , je n'étais plus dans mon corps, parti dans le monde de la souffrance, incapable de crier pris dans cette bonne séance et ne me tardant que cela s'arrête pour me  lacher encore plus.

- C'est bon tu en as pour ton compte ou tu en veux davantage, on va passer à l'étape suivante

Il me détacha et m'attacha les bras à une chaine écartelé en haut et un barre d'écartement en bas, il sorti un fouet un vrai qu'il faisait claquer et les premiers coups tombèrent sur le dos et les fesses, obligé de compter les coups et de le remercier avec les larmes qui coulaient de mes yeux

Je ne sentais plus mon dos et mes fesses seulement la chaleur qui en sortait, meurtris par les 100 coups que je venais de recevoir. uniquement de la violence gratuites et que j'étais venu chercher. Puis il me détacha, et il m'installa sur un banc à genoux cul offert, je sentais qu'on me lubrifié le cul et d'un coup je fus empalé par la bite du maître qui allait et venait en moi.

D'un coup le masque fut retiré et un bite s'engoufra au fond de ma gorge tandis que j'avais encore la bite du Maître, stupéfait qu'il y a une autre personne je prenais mon pied à servir de fourre bite alors que je ne demandais rien je fus rempli, fécondé par du foutre visqueux epais en bouche le maître resté en moi, je fus obligé de sucer une nouvelle bite, je me demandais combien ils étaient. Le maître sortit et enfonça sa main dans mon cul bien ouvert, et rentra sans aucun problème, il commença lentement puis plus férocement jusqu'à me rentrer le poing et me boxé l'anus.

- Elle aime ça la pute, venait jouir et lui fourrer la gueule.

Mon calvaire dura un bonne heure et demi à sucer de la queue et boire le sperme chaud et jouir du cul. on m'installa sur le sol et je reçu de la pisse à gogo sur tout le corps, je pense que les mecs ont tous pisser vu la quantité que je recevais.

Puis je fut enfermé dans une boite sans pouvoir faire aucun mouvement et on me remis le masque à gaz afin que ma respiration soit controlée, par moment du poppers s'echappé et mes neuronnes explosés, mon coeur palpité, et j'étais repus exténué de fatigue, je me suis assoupi et j'étais reveiller par un seau d'eau froide.

- Tu vas manger à la gamelle et je vais te casser le cul, t'ouvrir t'écartelé comme on me la demandé.

Je m'éxécutais, après avoir repris des forces, il me goda avec des godes de plus en plus gros et long, puis il remis sa main et poussa pour rentrer davantage son bras quand il arriva au coude, je ne sentais plus mon cul et il ne s'arrêta pas là, il enfonça de plus en plus et je sentis qu'il ne pouvait plus, il avait le bras entier dedans, pulvériser par le poppers enivrant que je respirais sans arrêt.

- C'est bon salope, c'est un gouffre ;

puis il me mit un spéculum pour me garder ouvert et m'inséra un gode pour me remplr le cul et me pissa dedans pour laver mes intestins de sa pisse, il me laissa me reposer dans cette position.

Après ce repos, il m'attacha les pieds et me suspenda en l'air la tête au niveau de sa queue et me défonca la gorge, je bavais et s'acharnais en va e vient au fond de ma gorge et me recompensa de son foutre, il remis au sol et m'attacha au mur avec une chaine. Je me suis endormis et durant tout le week end je fus à son service, à la fin du week end il me libéra et me ramena prendre le train, complètement éclaté du cul.