Je fus prêter par mon maître suite à une annonce qu'il avait passé, je fus transférer dans le coffre d'une voiture avec une cagoule complètement fermé, je ne pourrais dire combien de temps avait duré le trajet. La voiture s'arrêta et je fus conduit dans une pièce et attaché, une odeur d'humidité et de fraîcheur  remplissait mes narines, mes mains et mes chevilles contrainte par des chaines, le vent me fouettait le corps, il ne faisait pas trés chaud.

- Tu vas te donner comme m'as promis ton maître.

Je hochais la tête, il m'a passé le corps aux orties et m'echauffant le corps, le feu m'envahit je commencai  avoir une érection, et non content de cela il me donner un coup dans les couilles.

- Tu ne bandes pas, tu n'es pas là pour ça je vais te dérouiller.

La je subissais une série de 100 féssées dures, je gémissais en silence de peur d'en reprendre, il me détacha les poignées et m'installa sur une table  et attacha mon corps je ne pouvais plus bouger et il me versa de la cire chaude, j'essayai de respirer lentement pour resister à la douleur.

Puis il s'arrêta et me laissa dans le noir un très long moment, appeuré et stressé de l'arrêt des festivités. je sentis une drôle d'odeur et je perdis connaissance à mon réveil j'avais été installé dans une tour ou des meurtrières laissé passer le vent, ma cagoule avait été retiré et j'avais été installé sur une machine ou mes cheville et mes mains étaient attachées par une corde et étirés.

Le maître entra et je vis mon bourreau torse nu avec un ventre bedonnant et poilus, il portait une kapirote cachant son visage 2 trous pour les yeux et 1 pour la bouche et le nez.

- Tu vas me dire la vérité et répondre à mes questions.

Il posa ses questions et quand ce n'est pas la réponse qu'il attendait je subissais des tortures etirement des couilles je pouvais crier personne aux alentours puis il me transpercait les couilles avec une longue aiguille et je finissais par trouver les réponses à ses questions.

- Tu n'es rien et tu n'existe pas je pourrais te torturer et t'enterrer dans un coin.

Je ne voulais pas qu'il exécute ses paroles et je me laissais faire, il m'installa sur mes genoux et attacha mes chevilles au sol et inséra dans mon cul un plug, puis il m'enfourna un entonnoir dans la bouche et me fit boire 2 litres d'eau puis un bidon d'urine mascéré cela me faisait tourner la tête, je me sentais mal, puis il joua avec des éléctrodes pour me faire passer du courant sur mon corps, qu'allait il m'arriver.

Il ressortit l'entonnoir et sortit sa queue qui était tendue et baveuse.

- Suce-moi bien à fond.

Et il commença à limer ma bouche puis se mit à pisser en érection, il me gavait pour que je puisse tout avaler puis il me mit un masque  gaz avant de contrôler l'air que je pouvais  respirer, j'essayai calmement mais je finit par tourner de l'oeil et m'évanouir.

A mon réveil, je me retrouvai sur un sling avec sa main dans mon anus, il me puncher le cul avec sa grosse main puis les deux me déchirait totalement le cul mais je n'avais aucune douleur car il m'avait endormi le bas du corps, des aiguilles me transpercaient la verge.

- Alors, je n'en ai pas finit avec toi quand ce sera finit tu ne pourras plus marcher ou t'asseoir,

il s'enfourna un gode ceinture de diamètre énorme et me lima l'anus jusqu'à me faire saigner.

- Tu as tes règles, pas grave j'en ai pas finit, il me versa de l'eau brulante dans le cul pour me cotoriser presque, et quand son anestésie se finit la douleur fut intolérable, je criai il m'enfourna à nouveau, je pleurai puis il me piqua avec une seringue et je m'endormis.

Je me reveilla chez mon maître et sans dire un mot

- Tu t'es bien fait démonter, je te renverai.

Il m'ordonna de le sucer à fond jusqu'à éjaculation et me laissa tranquille.