Quoi de mieux d'être sequestré, attaché et utilisé à la guise d'un maître, voici le recit ou j'avais été échanger lors d'une bourse aux esclaves dans un club sm de paris. Mes yeux étaient bandés et mon maître me claquait sévèrement les fesses, afin de pouvoir m'exiber aux yeux des autres maîtres. A la fin de la soirée j'ai été conduit chez mon nouveau maître, a peine arriver, il m'allongea sur une table en bois sans confort, il m'attacha dessus par des liens qui me bloquait le corps je sentais la corde qui me plaqué sur le bois dur et froid.

Il m'installa un masque buccal et m'ota celui des yeux afin que je puisse le voir et me dit :

- Tu n'es là que pour me vénérer et me donner du plaisir, tu me serviras de pissotière totale.

Et là, la table se baissa pour être à la taille de son sexe et pissa dans le tuyau qui relié le masque buccal, j'avalais sa pisse sans broncher puis il relia le tuyau à un tuyauterie qui passait au plafond, la lumière s'éteignit.

Dans la nuit, je sentis de la pisse arrivé et ne pouvant que l'avaler, puis au matin la porte s'ouvrit le maitre apparaissait avec un harnais en cuir, il portait une ceinture gode avec un gros et large gode, il retira mon masque et me mis un masque pour controler ma respiration et me prépara l'anus en le graissant, je suffocais quand une bouffée de poppers me fit transporter et me détendre quand il enfonça son jouet en moi, je sentais la force de ses coups de reins qui me trituraient mon cul, il alternait de temps à autres par ses mains puis son poing, complètement ouvert et éclaté je ne lui montait pas que j'avais des orgasmes intenses mais mon sexe mou avait finit par laisser couler du sperme. Dans son élan  il enleva sa ceinture et me fit sucer sa queue, je dû la faire gonfler dans ma gorge, et surpris de la taille qui remplissait ma bouche et m'empêchant de respirer, je sentis couler sa pisse au fond de ma gorge.

Il me plaça un gode dans le cul qu'il laissa le reste de la journée, je ne pouvais l'expulser et le gardait, je pouvais gémir, mais je n'en faisais rien, à son retour le cul ouvert il le retira et me fit manger , j'étais fatigué mais il s'amusa à nouveau avec moi il m'attacha sur une croix et me flagella le corps de martinet, puis il passa très vite au fouet, je pleurais et il se rejouissait de m'avoir mis le feu et sous la douleur et la bouche baillonné je voulais lui demander d'arrêter mais aucun mot ne pouvais sortir de ma bouche.

Il me détacha pour que je puisse le sucer pour le faire jouir :

- AVALES tout

Il me rattacha sur la table et partit dormir, j'avais son masque pour que je boie sa pisse dans la nuit il pissa au moins 4 fois.

Le jour suivant il m'attacha sur le fauteuil à baiser et cette machine de supplice une fois lancer ne s'arrêta pas de m'enfoncer un gode dans le cul à rhytme cadencé durant les 45 minutes cela est excitant mais les 4 heures suivantes furent de la torture car mes couilles s'étant vidé, il n'y avait plus rien mais des sensations de douleurs aigus me faisait verser des larmes, le cul engourdit et les jambes lourdes, il rentra avec un cigare et me brûla les tetons, puis les couilles et le corps et me pissa dessus, il fit rentré un bear pour que je le suce à fond, quand il eut finit il en fit rentré un autre qui me defonça la gorge pour le supplicer de me récompenser par du sperme chaud et épais.

Il me fit dormir à ses cotés et dans la nuit me baisa sans répis il se vida en moi et puis me pissa dans le cul. Je me leva dans la nuit pour laisser couler sa pisse dans les toilettes, au matin il me fit boire à nouveau et je recevis de sa part cents coups de canne pour me rabaisser, à la fin de supplice je le remercia.

Je devais nettoyer la maison de fond en comble à son retour il n'était pas seul et il m'amena sur le lit et m'offrit en pâture à ces 4 mecs pendant que lui regardait, et filmait, mes trous était utilisé à bon escient, servir de vide couilles à des mâles velus et vicieux.

J'ai servit à ses côtés, j'ai été utilisé tous les jours, je lui appartenais et il en profitais vue son rang de supérieur, parfois dans sa dureté il s'octroyait des moments de violence extrème, il pouvait s'exteriorisé et se défouler sur l'inférieur que je suis.

Mon maître me faisait progresser dans le douleurs et les vices, supplices que je méritais, j'ai été battues, défoncé, explosé, déchiré, attaché, offert en gang bang, fisté, torturés mais j'ai subit sans bronché, en pleurant certe, mais en m'offrant totalement.