plan fessée dans les bois

Mon maître m'amena un week-end en rase campagne, nous avons retrouvé l'hotel puis après le repas du soir, il m'amena faire une promenade nocturne alors que nous marchions dans un coin assez retranché et me fit rentrer dans un verger et au fin fond du verger, me baillona avec un harnais et m'attacha avec des cordes qu'il avait sortie de son sac. L'obscurité se faisait de plus en plus et là le supplice commença, au début quelques coups sur les fesses avec une paddle pour les faire rougir mais comme il ne voyait rien, il passait simplement la main pour sentir la chaleur qu'il me procurait.

Je ne pouvais crier, je me tordais et plus je me tordais plus les coups se faisait lourd, au début c'etait des séances de 10 coups puis cela augmentait 20-30 jusqu'à 100 et là la douleur s'efface car elle m'avait endormi tout le bassin.

Pour ne pas en rester là, il fallait absolument qu'il ait le dessus, il attrapa une branche de bois pas trop épaisse et assez dure pour m'ascener de coup mon dos le sifflement crisser dans l'air puis la chaleur brulante des coups fut assommante, je ne sentais plus mon corps, il me détacha et me dit :

- Tu vas en prendre durant tout le week end, tu es ma chienne et je vais te casser, c'est ce que tu mérites...

Il me ramena  l'hotel et me baisa le cul afin de m'avilisser puis s'endormit en plein milieu de la nuit il recommença.

Le lendemain nous repartions en ballade dans les bois à l'abri de toute civilisation, et comme si rien n'était il me popperisa les nasaux et la sans achevetrement il récupéra une branche afin de me fouetter j'avais encore les traces de la veille, et sans retenue je ramassais une belle punition mais cette fois çi il ne s'arreta pas au dos et aux fesses, tout mon corps se marquait peu à peu de flagellation intense et je ne devais pas esquiver les coups, pour cela il m'avait mis mon silp sur la tête afin que je ne puisse voir ou les coups tomberaient.

Après une heure et demi de torture il me fit m'allonger sur un bosquet d'orties et la mon corps s'est enflamés instatanément, ce feu me consummait il avait hate de me redonner des coups, la douleurs avaient été démultipliées, je versais des larmes mais je bandais comme un fou, on se reposa et on rentra à l'hotel ou il me défonça le cul sans que je puisse dire ouf. 

J'éprouvai une excitation car il ne me permettait pas d'éjaculer, le dimanche sur le chemin du retour il m'amena dans un bois ou je devais a nouveau être corrigé, mais cette fois çi il me puni à grandes claques sur mes fesses, je ne pourrai pas vous dire le nombre de coups mais j'étais dans un état second car j'en voulais de plus en plus quand il s'arrêtait, il attendait de moi que je le supplie de continuer, mais fesses devaient être violettes tellement que le feu sortaient de celle-ci.

Eh oui quand il massacre mon corps de ses coups je frémis, je jouis, je pleure c'est un régal et on finit toujours pour en redemander tellement qu'on en prend goût, merci maitre.