Traqué et abusé, 

A la suite d'une drague sur le net, un mec m'avait reperé et s'était lancé par m'aguicher avec des pratique et rendez-vous convenu, il m'avait donné rencard en centre ville, il était 21h la nuit s'étant engagé il me fit mettre des lunettes de soudeurs et je ne vis plus rien après une demi heure de voiture, il me fit rentré dans un genre de hall car sa voix résonné et la il ouvrit une porte et après la descente de plusieurs marches il ouvrit une porte avec des clés.

Il me fit entré et me dessapa aussitôt, et me bayonna et m'attacha, je ne voyais rien au début cela m'exitait vivement je bandais fortement mais le son de sa voix étouffé dans la pièce, il me mis un masque prenant ma bouche et mon nez, ma respiration était sous son contrôle, quand je respirais du poppers et rien que du poppers au bout de plusieurs respirations, dans ma tête c'était la décontraction totale et l'invitation à toutes ses vices, je sentais sa main me caressant l'anus et rentrant sa main d'un coup et comme gobé par mon colon, là je sentis ses deux mains qui me forcaient la rosette et rentré dedans, ..pour me puncher, rentrant et sortant, je me sentais écartelé, ouvert, béant, et là il me tambourinner le cul sans arrêt j'en éjaculais de plaisir et d'orgasmes intenses. 

Quand sa voix étoufé dit : 

- Au suivant.

Là je ne compris plus rien nous n'avions pas convenu que l'on fasse cela à plusieurs.

- T'es q'une pute, et ma pute tu vas prendre.

Et je fis offert à un gang bang de fist, vous dire que je me suis fait travailler à la main, au poing toute la nuit, j'essayais de resserer mon cul, mais impossible, un tunnel large.

Et je fus attaché laissé là au repos, pour aprés me reveiller au bout d'une heure et je fus mis à l'abbattage obligé de donner mes trous pour laisser les mecs venir se vider en moi de leur foutre chaud, gavé au sperme et à la pisse de certains d'entre eux, je n'étais pas partis pour ce genre de plan, à la fin de la journée je fus libérer on me dit :

- Tu t'habilles, tu trouveras à cotés de tes fringues une enveloppe et tu tires la portes derrière toi.

Je remis mes vêtements et ouvrit l'enveloppe, dedans se trouvaient une somme d'argent alors que je n'avais convenu de rien et que ce n'était pas dans ce but, j'avais été traité comme une pute, je me sentais comme violé, abusé.

Je rentrais chez moi le cul en chou fleur.