Nounours viril

J'ai rencontré un ours viril et puissant par le biais d'internet après plusieurs echange de message, nous avions convenu d'un rendez-vous.

Le week end suivant je le retrouvai à la gare ou nous nous étions donné rendez-vous devant, je montais dans sa voiture il faisait nuit noire il me banda les yeux avec une cagoule, après 30 minutes, le moteur se coupa il me fit descendre et retirer tous mes vêtements. Il me demanda de fermer les yeux et me passa des lunettes de soudeur obscure.

Il me tira jusqu'à un escalier et me fit monter et traverser une pièce et à nouveau me fit monter un deuxième escalier, il me prit les poignées l'un après l'autre pour me passer des menotes en cuir rembourré les serrants assez fortement et me leva les bras pour les attachés en l'air, j'étais sur la pointe des pieds et là des coups de martinet sont tombés sur tout mon corps, je ne devait pas bronché puis il me dit :

- Tu vas pouvoir crier, personne ne viendra et ne m'arreteras pas.

J'étais comme desenparé et je criai quand les coups tombé et le remercier pour les sévices infligés, il me prenait les couilles et les pressés, je hurlais et le supplier d'arrêter car la douleur devenait insupportable.

Il prit mes chevilles pour m'enfiler des rangers et detacha mes poignées et demanda que je m'allonge sur le sol et j'entendis un treuil à chaine quand je fus tirer par les pieds jusqu'à que je soit suspendu et là il me pénetra la bouche avec une queue bien baveuse, il enfonça sa queue dure jusqu'au fond de ma gorge laissant coulé de la bave sur mes yeux.

je sentais le sang me monté  la tête et je perdis connaissance, quand je repris connaissance je me retrouva dans le noir mes yeux avait été libéré de ses lunettes mais je ne voyais rien , je sentais une chaine qui me tenait la cheville, j'avais complètement perdu la notion de temps et depuis combien de temps j'étais la enchainné. Ce n'était pas ce que j'avais conclu en terme de plan.

J'entendais des voies au loin et prie de peur aucun mot ne sortait quand une porte s'ouvrit, je ne reconnaissais pas la voie de cet ours mais le mec en face de moi me lança se quelques mots qui résonnèrent en moi :

- Tu viens d'être loues comme esclave durant 24h et je ne veux pas entendre un mot qui sort de ta bouche sinon je te coupe les couilles et te les fait avaler !!!

Je hochais de la tête pour affirmer ma soumission, il me fit mettre une tenue en cuir à lacet et me prepara pour faire le jouet sexuel de lui et ses amis, je ne pouvais retenir mes larmes quand les coups tombés, il m'ont destroyés le cul et la bouche je hurlais intèrieurement des jouissances qu'ils me procuraient ils ont vidés leurs couilles dans mes orifices, ils se sont soulagés de leurs pisses dans mes trous, mon état mental n'était plus lucides.

Pendant qu'ils reprennaient des forces j'étais pluggé  puis fister afin d'être ouvert, ils remirent le couvert et je ne sentais plus les queues me pénétrant et me limantla douleur intense sur mon bas ventre, je perdis connaissance, quand je me reveilla j'étais sur un sling attaché, et là une voie connu retentit :

- Alors petite pute tu t'es bien fait ramoner, chienne tu aimes la queue, bouffeur de sperme avaleur de pisse regarde tes couilles elles ont morflés un bon ballon de foot.

Je regardais mes couilles et je pris peur quand j'ai vu la grosseur je sus par la suite que le nounours m'avait injecter 1 litre de serum physiologique qu'à la fin du plan, mais pour l'heure il me releva du sling et me boxa les couilles sans arret je ne ressentais pas de douleurs mais au bout de longues minutes de jets de sperme sortirent de ma queue enflée, il me fit mettre à genoux et m'attacha les mains puis passa un harnais sur la tête avec un entonnoir et versa une bouteille de sperme que je dus avaler sans en perdre une goutte, je n'arrivai plus à saliver, la bouche pateuse et affranchis de sa trace.

Il me fit une piqure et je me reveilla dans ma voiture habillé et humilié au plus profond de moi, et je me mis à pleurer comme un madeleine.

plan fessée dans les bois

Mon maître m'amena un week-end en rase campagne, nous avons retrouvé l'hotel puis après le repas du soir, il m'amena faire une promenade nocturne alors que nous marchions dans un coin assez retranché et me fit rentrer dans un verger et au fin fond du verger, me baillona avec un harnais et m'attacha avec des cordes qu'il avait sortie de son sac. L'obscurité se faisait de plus en plus et là le supplice commença, au début quelques coups sur les fesses avec une paddle pour les faire rougir mais comme il ne voyait rien, il passait simplement la main pour sentir la chaleur qu'il me procurait.

Je ne pouvais crier, je me tordais et plus je me tordais plus les coups se faisait lourd, au début c'etait des séances de 10 coups puis cela augmentait 20-30 jusqu'à 100 et là la douleur s'efface car elle m'avait endormi tout le bassin.

Pour ne pas en rester là, il fallait absolument qu'il ait le dessus, il attrapa une branche de bois pas trop épaisse et assez dure pour m'ascener de coup mon dos le sifflement crisser dans l'air puis la chaleur brulante des coups fut assommante, je ne sentais plus mon corps, il me détacha et me dit :

- Tu vas en prendre durant tout le week end, tu es ma chienne et je vais te casser, c'est ce que tu mérites...

Il me ramena  l'hotel et me baisa le cul afin de m'avilisser puis s'endormit en plein milieu de la nuit il recommença.

Le lendemain nous repartions en ballade dans les bois à l'abri de toute civilisation, et comme si rien n'était il me popperisa les nasaux et la sans achevetrement il récupéra une branche afin de me fouetter j'avais encore les traces de la veille, et sans retenue je ramassais une belle punition mais cette fois çi il ne s'arreta pas au dos et aux fesses, tout mon corps se marquait peu à peu de flagellation intense et je ne devais pas esquiver les coups, pour cela il m'avait mis mon silp sur la tête afin que je ne puisse voir ou les coups tomberaient.

Après une heure et demi de torture il me fit m'allonger sur un bosquet d'orties et la mon corps s'est enflamés instatanément, ce feu me consummait il avait hate de me redonner des coups, la douleurs avaient été démultipliées, je versais des larmes mais je bandais comme un fou, on se reposa et on rentra à l'hotel ou il me défonça le cul sans que je puisse dire ouf. 

J'éprouvai une excitation car il ne me permettait pas d'éjaculer, le dimanche sur le chemin du retour il m'amena dans un bois ou je devais a nouveau être corrigé, mais cette fois çi il me puni à grandes claques sur mes fesses, je ne pourrai pas vous dire le nombre de coups mais j'étais dans un état second car j'en voulais de plus en plus quand il s'arrêtait, il attendait de moi que je le supplie de continuer, mais fesses devaient être violettes tellement que le feu sortaient de celle-ci.

Eh oui quand il massacre mon corps de ses coups je frémis, je jouis, je pleure c'est un régal et on finit toujours pour en redemander tellement qu'on en prend goût, merci maitre.

Ceci est le premier article de votre blog. Il a été créé automatiquement pour vous aider à démarrer sur Erog. Vous pouvez le modifier ou l'effacer via la section "publier" de l'administration de votre blog.

Bon blogging

L'équipe d'Erog

PS pour vous connecter à votre administration rendez-vous sur le portail des blogs Erog