Session avec un maître

Je me suis rendu à un rendez-vous pris conclus entre maître, je suis en bas de chez lui, je sonne les 3 coups et je dois attendre en bas de l'immeuble, la porte s'ouvre et m'amène direct dans la cave une pièce grande sombre et recouvert d'une isolation phonique, une sensation ou les paroles du maitre sont comme absorbés, et le mâitre dit :

- Tu pourras gueuler, hurler, pleurer, personne ne viendra à ta rescousse, j'ordonne tu obéis, sinon tu verras par toi même ce qui t'arrivera, et je ne veux pas t'entendre parler, tu n'es pas là pour ça, tu fais un signe de la tête pour signaler que tu as compris.

Sans réfléchir, je m'exécute en hochant la tête de haut en bas.

- C'est bien, maintenant à poil, et tu mets tes vêtements dans le sac, et tu enfiles le harnais.

je mis mes sapes dans la poche, et enfila le harnais, qu'il s'empressa de le serrer au maximum, il me mit ensuite des menottes en cuir bien comprimés sur mes poignées et mes chevilles, puis il m'attacha les mains dans le dos et m'enfila une cagoule en cuir à lacets qu'il serra me privant partiellement de l'ouie.

J'étais comme déjà comme dans un aquarium dans la cave mais en plus avec la cagoule, je commencais à avoir la tête comme les lendemains de cuite, il plaça un masque a gaz ou il avait préalablement versé du poppers pour me faire encore plus planer et être à sa merci, j'étais complètement partis, au bout de  10 minutes , il le retira et dit :

- On va commencer, suce moi et gobe la toute.

Il ne bandait pas encore et j'ai senti sa queue durcir et prendre un volume impressionnant cela m'empêcha de respirer et lancant des va et viens dans ma gorge, me faisant baver et suffoquer, par moment il me laissé repsirer et j'en profiter avant qu'il ne recommence.

Puis après un long moment, il m'attacha sur une croix de St André mes fesses et mon dos offert à tous sévices, et me bandant les yeux et me bayonnant la bouche et je ne pouvais plus respirer par la bouche simplement par le nez.

J'ai sentis un coup me lassérant le dos puis un deuxième je serrais les dents mais la violence m'a fait pleurer de douleurs mais complètement attaché, ne pouvant remuer aucun membre de mon corps, mais une fois le feu installé, j'étais ivre de douleur, cet état ou vous ne sentez plus les coups, après cette séance de tortures, il me laissa dans cette position afin de récupérer et de souffler un peu.

Il enchaina mes pieds et mes mains après m'avoir détacher de la croix, puis il m'installa sur une sorte de chevalet et m'attacha à nouveau et il me graissa le cul, puis un gode rentré dans mon cul sans sursillé, et dit :

- Alors tu vas bien faire ce que je veux, je vais te briser, j'ai l'autorisation de te casser, et de te violer à ma guise.

Je sentis un gros gode rentrer en moi et limant les parois anales me faire mouiller et prendre du plaisir, mais une décharge électrique sur les couilles me coupa toutes envies.

- Tu n'es pas là pour prendre du plaisir, du coup je vais te démonter le cul.

Il mit sa main dedans forçant pour me déchirer, mais elle glissa en moi serreinement, puis il la sortie et rentrant direct son poing, il boxa le cul durant de longues minutes et quand il rentrit ses 2 poings fermés, je gémis mais il renvoya des décharges puissantes à nouveau sur mes testicules.

Je voulais que cela finisse, mais il n'avait pas prévu cela pour moi pas encore.

- Ce n'est qu'un apéritif, je n'ais pas encore eu l'entrée, tu vas repartir en chaise roulante. 

Il se mit à rire, tout en m'insultant, il me fit mettre à genoux et me popperisant à nouveau, il m'installa un baillon avec un tuyau et je sentis un liquide chaud dans ma bouche, au début je ne savais pas mais à la fin en déglutissant je comprenais qu'il m'avait fait boire sa pisse.

Il m'enfila un gros plug qui m'envoya de l'électricité dans mon cul le contractant avec un rythme cadencé comme si on me limait, puis je fus jetté je pense dans une caisse étroite comme un cerceuil et me laissa durant un très long moment puisque je me suis assoupie, au reveil j'étais suspendus ne sachant pas comment j'avais attéris dans cette position et comment, mais la tension de mon corps se faisait ressentir sur mes poignées et mes chevilles, il retira la cagoule et je pouvais voir et entendre à nouveau, j'avais la tête qui tournait le temps que mes sens se remette en position.

Je commençais à ressentir mon corps endoloris et la ses mots me glacèrent :

- Je vais jouer avec ton corps aux aiguilles, j'ai milles aiguilles qui vont te transpercées.

Il commença à poser ses aiguilles sur les tétons puis sur mon sexe, puis sur les couilles à vif et chaques piqûres me faisait tortillées, il se régalait de me faire souffrir, j'en avais partout mes les plus douloureuses se trouvaient sur les mains et les pieds, je voulais supplier qu'il arrête, mais il me fit respirer du clhoroforme et quand je revint à mes esprits, je fus reveiller par sa pisse sur mon corps qui me brulé aux endroits ou j'avais été piqué et sans plus aucune aiguilles.

Il m'attacha les couilles et me posa un compte goutte  relié à une poche de 1litre, quand le liquide fut entièrement vidé, il en remit une autre et je pouvais voir mon scrotum devenir comme un ballon, puis il venait taper dedans de toutes ses forces comme sur un puntching ball, je ne ressentais aucune douleur primaire mais mon sexe avait compètement disparus dans le scrotum et ils insera des aiguilles qu'il avait relié à un appareil m'envoyant des décharges et m'attroffiant les couilles la douleur était insupportable.

- Vas-y gueule je veux t'entendre crier.

Je me lâchai, puisqu'il m'autorisait, mais je compris pourquoi car plus je criai plus il augmentait l'intensité, je n'en pouvais plus et le suppliais pour qu'il arrête.

- Je n'ai pas finis avec toi, ce n'est que l'entrée.

Il me remis du poppers plein les nasaux et me fit asseoir sur un plug géant qui avait du mal à rentré mais mettant le poids de son corps sur mes épaules firent que je l'avais rentré sous la douleur et m'attachant sur la chaise, je ne pouvais pas le ressortir j'avais les reins en compote les jambes tremblantes.

Je n'avais plus la notion du temps mais je savais ce que je voulais, que ce supplice s'arrête, mais il alluma un cigare et me faisant respirer la fumée il me brula le corps et les tétons, je hurlais et lui demandait pitié, il retira le plug faisant relacher mon prolaspe à l'extérieur.

Il dit :

- Pas encore le dessert va arriver, tu vas tirer le jus et avaler sans broncher.

Il pris son ordi et convoqua une dizaine de mecs, après un long moment et après m'avoir attaché contre un poteau les bras dans le dos et un écarteur de bouche me tenant la machoire ouverte, je fus offert aux assauts des queues tendues et pénétrant jusque dans la gorge, à tour de rôle et les vas et viens incéssant, je fus rempli en fond de gorge et pour les meilleurs une seconde tournée fut imposée.

- Maintenant à mon tour, et tu vas me montrer comment me remercier sinon je te garde le temps qu'il faudra.

Et je me suis haté de rouler ma langue tout en subissant ses coups de reins et quand il cracha son jus je jouais avec ma langue pour lui montrer que j'étais à ses pieds.

- C'est bien sale pute, tu vas récupérer puis quand je te le dirai tu repartiras, je m'allongea sur le sol car je ne pouvais plus bouger mon corps avait refroidi, laissant la douleur et la fatigue s'accaparait dans mes jambes, je ne tenais pas debout.

Je me suis assoupie dans la position du phoetus comme pour essayer d'éradiquer la douleur et je fus réveiller par un saut d'eau froide.

- Remets tes vêtements et dégage, sinon on remets çà demain.

C'était trop pour moi, je rassemblais les forces qui me restait enfilant mes fringues et essayant de rentré dans mon pantalon les couilles toujours gonflées, et dehors m'attendait mon maitre, il reçu une envellope de la part de mon bourreau, il jeta un coup d'oeil, des billets se trouvaient à l'intérieur, et mon maître dit :

- J'espère que t'as bien dérouillé, tu m'as rapporté 1500€ et tu vas me rapporté encore plus.

Il me ramena et m'inspecta nu pour voir ce que j'avais subi, et me confina dans une chambre ou je fut isolé une semaine entière.